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Comment faire une recherche sur Souvenirs de guerre?

Mise à jour le 29 avril 2022

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Souvenirs de guerre raconte ce que les anciens combattants (les vétérans comme ils s’appellent encore) n’ont jamais parlé. Une de vos connaissances y a peut-être confié son histoire.

Pour me contacter, vous pouvez utiliser ce formulaire ci-dessous.

Je me souviens – Louis Ledoux et son neveu…

Je me souviens – Louis Ledoux et son neveu…

Il y a près de 15 ans, en août 2009, j’écrivais…

Louis Ledoux est mort pour la liberté le 29 avril 1944 à l’âge de 20 ans… Je ne sais pas encore sa date de naissance précise, mais ça ne saurait tarder…

Louis Ledoux

Réjean Ledoux m’a réécrit…

Désolé d’avoir tardé à vous répondre. D’après ce que j’ai pu voir sur l’arbre généalogique (votre lien), vous en savez pratiquement plus sur mes ancêtres que moi-même!!!!

Je ne sais pas comment travailler sur le site, mais je pourrais facilement vous remplir un tas de cases vides (je vais travailler là-dessus)

La plupart des photos que vous avez trouvé sur le net, c’est moi qui les avait fait parvenir au ministère de la Défense.

J’aimerais bien savoir comment vous avez fait pour colliger toutes ces informations, (nom de mon grand-père, grand-mère, etc…!) et je serais intéressé à en savoir plus, car je suis très curieux sur mes origines passées et j’en sais très peu…

Si je peux vous donner d’autres informations, il me fera un plaisir de vous les transmettre et vice-versa.
J’aimerais bien savoir ce qui vous a amené à vous intéresser à la généalogie et en particulier à l’Athabaskan?

Au plaisir de vous relire

Réjean Ledoux

Merci d’avance pour les recherches que vous faites…

Ma réponse a été rapide comme d’habitude…

Bonjour,

Pas mal content d’avoir de tes nouvelles.

Si j’ai parlé de Louis Ledoux, c’est que l’oncle de ma femme nous a dit qu’il était sur l’Athabaskan en 1944.
Il ne veut pas en parler par contre, alors j’en parle pour lui sur mon blogue que j’ai commencé à cause de cela.

Voici le premier article…

http://mpierrela.wordpress.com/2009/08/17/

Tu as toute l’histoire dans ce premier article, mais ensuite j’ai continué, car j’ai trouvé plein d’informations sur le navire. J’ai actuellement une bonne vingtaine d’articles reliés à ce navire. J’ai aussi acheté le livre écrit par Émile Beaudoin aussi marin sur le destroyer.

J’ai continué sur d’autre sujets, et si tu as la patience de tout lire, tu comprendras comment je suis arrivé à écrire tant d’articles.

Dans ton message, je comprends que je suis tombé pile sur Joseph Ledoux et Marie-Louise Barthe.

Je vais t’inviter à être membre de mon site de généalogie.
Ça ne coûte rien. C’est moi qui paie les frais du serveur.
Tu auras accès à toutes les fiches.

J’aimerais beaucoup complété mes informations sur la famille Ledoux et ce en hommage à Louis. Si tu as d’autres photos je serais pas mal content de les avoir pour mon usage personnel.

Je compte parler de notre rencontre virtuelle dans un de mes articles. Je ne mentionnerai pas ton nom comme tel, à moins que cela ne te dérange pas.

Encore une fois, pas mal content de te faire ta connaissance.

Pierre

Réjean m’a réécrit… et ça ne le dérange pas que je cite son nom…

Avis de recherche – Des Américains dans l’Aviation royale canadienne

J’ai reçu une demande de Benoit Valois-Nadeau, un chercheur qui travaille pour TV5. Il m’a contacté au sujet d’un documentaire qu’il veut faire sur les Américains dans l’ARC, particulièrement avec les Alouettes. Je connais un pilote Charles Lesesne et j’en cherche d’autres. TV5 a déjà plusieurs documentaires sur la guerre. https://www.tv5unis.ca/collections/guerres-et-conflits Si vous souhaitez le […]

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Reuniting Unsung Heroes – La suite

October 30, 2023 This post was published exactly two years ago./Ceci avait été écrit exactement il y a deux ans. I was paying homage to Flight Engineer, sergeant W. Clarke./Je rendais hommage au Flight Engineer, le sergent W. Clarke. October 30, 2021 Source 6bombergroup via Richard Girouard My blog will be reuniting Flight Engineer Clarke […]

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Deux vieux hommes et la guerre – Soldat et troubadour… La suite

Extrait de la quatrième de couverture

Par conséquent, en Amérique du Nord, leurs proches proposaient d’ordinaire qu’il valait mieux ne pas les fatiguer avec ce qu’ils avaient connu de « l’autre bord ». Consigne que certains enfants sans-cœurs transgressèrent une fois ou deux. Et même pour certains des moins dociles, bien plus que deux….


Ça ne sera sûrement pas un best seller…

Si Ti-Mick était encore parmi nous, c’est probablement ce qu’il dirait aussi à son fils…

– Voyons Yves, tu perds ton temps. Depuis le temps, la Deuxième Guerre mondiale ça n’intéresse plus personne…

– Oui, oui, mais daddy...

Yves en avait pris du temps pour finalement faire parler son père…

Commentaire écrit sur Souvenirs de guerre le 20 novembre 2011

Bonjour,
Je suis le fils d’un FMR et fréquente le site “Souvenirs de guerre” depuis quelque temps sans y avoir encore jamais écrit.

Me permettriez-vous donc aujourd’hui une question touchant le soldat Hubert Carrière ?

Quelqu’un de sa famille ou autre, connaîtrait-il les circonstances de sa visite au bureau d’Hitler et, dans le cas positif, accepterait-il d’en partager l’information ?

Pourquoi cette question ?

Parce qu’il est tout simplement bien possible qu’il y soit allé avec mon père, sergent FMR…

Pour tout vous dire, depuis maintenant quelques années, je travaille à l’écriture d’un modeste texte sur la participation de celui-ci au Deuxième Conflit mondial et je cherche à accumuler et échanger des informations pratiques sur tout cela.

Au sujet du passage de mon père dans le bureau d’Hitler, j’en sais assez peu et, malheureusement, il est mort trop rapidement pour que j’en sache plus des circonstances qui entouraient l’événement (sauf qu’à l’occasion de sa présence à Berlin, il avait aussi visité le Stade olympique avec d’autres et qu’il s’était baigné dans ses piscines dont j’ai quelques photos).

Comme pour beaucoup de ces hommes et femmes qui ont vécu de près ces années difficiles, il n’était pas toujours facile pour un de leurs descendants d’en savoir beaucoup à la fois.

Je sais que quiconque a vécu une identique expérience avec un paternel qui sera revenu d’outre-mer, comme il disait, comprendra que je ne m’étends pas trop sur la raison de cela…

Merci d’avance de votre compréhension et de votre aide.

Yves Côté

Écrire les souvenirs de guerre de son père n’a pas été facile, surtout que le sergent Michel Côté l’avait fait languir pas à peu près comme Yves l’avait écrit dans le tome 1.

Dans le tome 2, Ti-Mick en révèle un peu plus à son fils et, à la fin, c’est à Yves Côté de nous faire languir.

Semblerait qu’il y aurait un tome 3 et peut-être même un tome 4 qui, peut-être, n’intéressera personne.

À suivre…

Deux vieux hommes et la guerre – Soldat et troubadour

Deux vieux hommes et la guerre – Soldat et troubadour…

Tome 2

Quatrième de couverture

Au Québec comme partout en Amérique du Nord, une fois la Seconde Guerre mondiale terminée, d’Anciens Combattants de vingt-cinq ans reprirent la vie civile dans la discrétion et le plus souvent, dans le silence. Rentrés du Vieux-Continent, ils donnèrent à leurs premiers jours l’expression de retrouvailles joyeuses et bien des larmes furent ainsi retenues. Leur durable souffrance suivit dès lors ce même chemin obligé qu’ils avaient parcouru sur le champ de bataille, ayant comme silencieux et partagé cri de ralliement : En avant ! Quel qu’en soit le prix…

L’absence pour la société du témoignage visuel quotidien des ruines de guerre et l’éloignement des récits dramatiques directs des populations frappées participèrent ensuite de manière aussi fortuite qu’aléatoire à un établissement inégal, parfois hasardeux, de qui « avaient eu la chance extraordinaire d’en revenir ». Par conséquent, en Amérique du Nord, leurs proches proposaient d’ordinaire qu’il valait mieux ne pas les fatiguer avec ce qu’ils avaient connu de « l’autre bord ». Consigne que certains enfants sans-cœurs transgressèrent une fois ou deux. Et même pour certains des moins dociles, bien plus que deux….

Que portaient donc au fond d’eux-mêmes ces jeunes hommes pour partir se battre au loin, risquant fort d’y mourir ou d’en revenir handicapé à vie? Le savaient- ils d’ailleurs eux-mêmes? A vingt ans, que sait-on de soi ? A force de pudeur et de retenue dans la souffrance, l’ont-ils découvert à leur retour et au fil du temps? Qu’ont-ils compris des indécences qu’ils connurent? Et tous sont-ils arrivés à y déchiffrer quelque chose? Sans parler de ceux à qui la vie fut prise ou volée, et qui n’eurent jamais la chance de tenter de mettre tout cela en perspective.

Ces questions, je me les pose à chaque fois que je vais dans un cimetière militaire. Peu importe qu’il se trouve à Dieppe, à Cintheaux, à Bayeux, à Colleville-sur-Mer, à Urville, à La Cambe ou n’importe où ailleurs. Ailleurs en Normandie, ailleurs en France et ailleurs en Europe.

Ailleurs loin de cette terre américaine d’enracinement familial de nombreux Vétérans…


À suivre…